« Nas latrinas sujas as meninas passam o minuto de alegria roubado ao trabalho escravo.
—
O Chefe disse que agora só pode vir de duas em duas !
—
Credo ! Você viu quanta porcaria que está escrito !
—
É porque aqui antes era latrina dos homens !
—
Mas tem um versinho d’aqui !
—
Que coisa feia ! Deviam apagar…
—
O que quer dizer esta palavra "fascismo" ?
—
Trouxa ! É aquela coisa do Mussolino.
—
Não senhora ! O Pedro disse que aqui no Brasil também tem fascismo.
—
É a coisa do Mussolini, sim.
—
Na saída a gente pergunta. Xi ! já está acabando o tempo e eu ainda não
mijei ! »
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
« Dans
les toilettes sales, les filles profitent de la minute de joie volée au travail
esclave.
—
Le Chef a dit que maintenant on peut venir que deux par deux !
—
Mon Dieu ! T’as vu tout ce qu’y a d’écrit comme cochonneries !
—
C’est parce qu’ici avant c’était les toilettes des hommes !
—
Et y a même un petit vers, là !
—
Quelle horreur ! Ils devraient l’effacer…
—
Ça veut dire quoi ce mot "fascisme" ?
—
Idiote ! C’est le truc de Mussolini.
—
Non madame ! Pedro a dit qu’ici au Brésil y a aussi du fascisme.
—
Oui, c’est le truc de Mussolini.
—
On demandera à la sortie. Mince ! le temps est déjà fini et j’ai pas
encore pissé ! »
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