Belle recension de Parc industriel de Pagu, dans la chronique de Corinna Gepner, sur le site de l’Association des Traducteurs Littéraires de France (ATLF).
À l’enseigne d’Oswald de Andrade & de sa « poésie d’exportation », une vitrine arbitraire & généreuse de l’actualité éditoriale & culturelle française autour du Brésil moderniste, poétique, littéraire & artistique. « & Cie »: succursales en développement du côté des avant-gardes hispano-américaines. Livres, documents, trouvailles, curiosités, exclusivités dérisoires. Petit commerce de traduction & affaires d'import-export.
30 avril 2015
Dans la presse française (en ligne)
Belle recension de Parc industriel de Pagu, dans la chronique de Corinna Gepner, sur le site de l’Association des Traducteurs Littéraires de France (ATLF).
20 avril 2015
Dans la presse française (en ligne)
À propos de Parc industriel de Pagu, une recension
avisée, perspicace, sensible et tendue, par Frédérique Guétat-Liviani sur Sitaudis ce 20 avril.
Une lecture à la lettre de ce petit roman prolétaro-moderniste, jetant la forme en travers des intentions du sens.
Qu’on se
le dise !
12 avril 2015
Dans la presse française
Mais qui ose donc situer
Pagu, azimutalement, quelque part entre Zola, Félix Fénéon, Léon Frapié et Roberto Arlt ?
C’est bien sûr Éric Dussert, qui a
lu Parc industriel et en rend compte
dans Le
Matricule des Anges n°162 de ce mois d’avril.
Libellés :
dossier de presse,
Eric Dussert,
Liliane Giraudon,
Pagu,
Parc industriel,
Portrait(s) du Brésil,
post-modernisme,
publication,
traduction française
Lancement Pagu (27)
Pagu/Poudovkine/Gorki
« Ils entrent au
cinéma Mafalda pour voir un film russe tiré de Gorki. Les fauteuils populaires
sont convoités. […]
Dans l’obscurité, Otávia
veut tirer de chaque tête muette de spectateur, de chaque bras silencieux, une
adhésion aux crispations émotionnelles qui l’enveloppent. Elle sert la main d’Alfredo.
Mais beaucoup de gens n’attendent pas la fin de la séance.
Un groupe de jeunes
filles sort en plaignant à haute voix les dix centimes perdus pour un film sans
histoire d’amour.
Les inconscientes que
charrie le prolétariat. Étourdies par les reflets du régime bourgeois, par leur
fascination devant les toilettes qu’elles ne peuvent posséder mais qu’elles
désirent. Devant les automobiles de toutes les couleurs, les raquettes et les
plages. Nourries par l’opium impérialiste des films américains. Esclaves attachées
à l’illusion capitaliste.
Mais dans la rangée de
devant, deux jeunes travailleurs s’enthousiasment, s’absorbent dans le drame
prolétaire qui défile. L’un d’eux a parlé si fort que ses mots sont parvenus
tout entiers aux oreilles d’Otávia :
— Personne ici comprend
cette bombe ! »
trad. du portugais (Brésil) par A. Chareyre
Le Temps des Cerises, « Romans
des Libertés », 2015
chap. « Prolétarisation », p. 97
À voir :
La Mère
réalisé par
Vsevolod
Poudovkine
scénario de Nathan
Zarkhi
d’après Maxime Gorki
(URSS, 1926)
trad. de René
Huntzbucler [1952]
Le Temps des Cerises, « Romans des Libertés »,
2013
9 avril 2015
Là où il faut être / Lancement Pagu (26)
La Librairie Portugaise
& Brésilienne
et
les éditions Le Temps des Cerises
vous invitent
mercredi 15 avril 2015 à 19h
à la présentation
du
roman Parc industriel
de Patrícia Galvão, dite Pagu
(1910-1962),
par son traducteur Antoine Chareyre.
Lecture d’extraits par Séverine Delrieu.
Pagu, alias Mara Lobo, a essayé de raconter dans ce livre,
avec un maximum de littérature pour un maximum d’efficacité, la vie et les
luttes des travailleuses de l’industrie textile du quartier du Brás, à São
Paulo.
C’est un roman prolétaire. Le premier au Brésil, en 1933.
Librairie Portugaise
& Brésilienne
19/21 rue des Fossés Saint-Jacques – Place de l’Estrapade –
75005 Paris
Métro Place Monge,
Cardinal Lemoine
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