AVIS AU PEUPLE — La scandaleuse Pagu NE sera PAS de la délégation officielle de 48 auteurs brésiliens invités au Salon du Livre de Paris (20-23 mars 2015), qui a ce
goût très sûr de n’accueillir que des écrivains vivants. Évitez les longues
files devant les tables de dédicace, Fuyez les causeries bondées du stand
Brésil, Soyez révolutionnaire et faites
le choix de la dissidence, en vous rendant sur le stand G86 des éditions Le Temps des Cerises et en exigeant le livre :
(roman prolétaire)
Prologue de Liliane
Giraudon
Traduction du portugais
(Brésil),
notes & postface par
Antoine Chareyre
Le Temps des Cerises
(Montreuil)
Coll. « Romans des
Libertés »
166 p., 14€
(paru le 19 mars)
*
Le roman prolétaire
mondialement salué par la critique brésilienne !
« Une ultime perle moderniste, un excentrique
et audacieux précurseur
du roman social des années 1930. »
« Un style fragmentaire, direct et concis,
influencé par
la prose télégraphique d’Oswald de Andrade. »
« La poignante poéticité de l’utopie
prolétaire de Pagu. »
(Augusto de Campos)
« Patrícia Galvão, muse tragique de la
Révolution. »
(Carlos Drummond de
Andrade)
« Un douloureux document humain,
le premier
roman prolétaire publié au Brésil. »
« La première femme emprisonnée au Brésil,
dans la lutte révolutionnaire idéologique. »
(Geraldo Ferraz, A Tribuna)
« Le choc des vies qui palpitent dans le
sous-sol du parc industriel. »
« Les débuts d’écrivain les plus beaux et les
plus courageux
de cette délicieuse fin 1932. »
« La violence et l’éclat d’un tempérament
révolutionnaire. »
« Roman rapide, couleurs fortes, personnalité. »
« Curieuse et admirable Pagu, femme de culture
et d’action. »
« Roman rapide, expressif, vibrant, clair. »
« Un libelle sous la forme du roman. »
« Des pages véhémentes et tristes. »
« Un pamphlet admirable d’observations et de
probabilités. »
« Une série de tableaux pittoresques et
merveilleux,
dessinés avec un grand réalisme. »
« L’éclatante beauté de tableaux vivants de
dissolution et de mort. »
« São Paulo vient de se réaffirmer à
l’avant-garde littéraire qu’elle occupe. »
« Le sens dramatique et social des situations
de classe. »
« Pagu a vu et a parlé, a crié, a hurlé. »
« La tragédie ouvrière, sans fioritures ni
poésie bourgeoise. »
(O Malho)