Retour sur
le modernisme de deux Brésiliens de Paris, dans un récent article de l’universitaire
américain Kenneth David Jackson, « Des cannibales à Paris : le
primitivisme satirique d’Oswald de Andrade et de Vicente do Rego Monteiro »,
paru dans l’ouvrage collectif dirigé par Vanda Anastacio, Saulo Neiva et Gilda Santos, L’Atlantique comme pont : L’Europe et l’espace lusophone (XVIe-XXe siècle), Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, coll. « Littératures », 2013, p.65-78.
(Référence : http://www.msh-clermont.fr/spip.php?article3440.)
(Référence : http://www.msh-clermont.fr/spip.php?article3440.)
L’occasion
de donner ici-même quelques pages, pour les amateurs, des Quelques visages de Paris
du peintre (et poète) Rego Monteiro,
un curieux ouvrage publié dans la capitale en 1925, en même temps que s’y
imprimait la poésie de Pau Brasil d’Oswald
de Andrade (à propos de laquelle Kenneth D. Jackson, s’adressant ici aux
lecteurs francophones, n’a pas tout à fait actualisé sa bibliographie).