Urbe 1924
Metropolis 1929
City 2010
Métropole 2013
Vient de paraître, en
anglais et comme hors de saison (?), une intéressante réflexion critique sur le recueil fameux du stridentiste mexicain Manuel
Maples Arce, l’inénarrablement intitulé Urbe (Super-poema bolchevique en
5 cantos) (1924), en écho à la nouvelle traduction américaine du poème
par Brandon Holmquest, City, parue en
2010 chez Ugly Duckling Presse (New York), laquelle vint succéder à celle de
John Dos Passos, Metropolis, lancée
dès 1929 (par ailleurs reprise dans l’anthologie de Jed Rasula et Tim
Conley, Burning City : Poems of
Metropolitan Modernity, chez Action Books en 2012).
Ça se passe en ligne, sur
The
Volta Blog, et c’est signé Zoe
Tuck :
Pendant ce temps, on peut lire en français (et en espagnol) ce Métropole ainsi que toute la poésie
stridentiste de Maples Arce, depuis 2013 grâce au Temps des Cerises (et à quelques
critiques attentifs) :
Qu’on se le dise !