Non content d’avoir
semé l’inquiétude dans le petit monde du livre, au printemps dernier, en
alertant tout un chacun de l’apparition alors imminente de L’oncle d’Amérique (lire l’épatant billet du 20 avril),
Éric Dussert alias le Préfet maritime a eu le bon goût de lire Brás, Bexiga etc. d’Alcântara
Machado, et le chic d’en rendre compte derechef sur L’Alamblog, dans la
catégorie « Les vrais coupe-faim », ce 24 juillet.
Cet
intelligent billet tout plein de rapprochements inspirants se lit par ici, et la conclusion est sans appel : « Les
nouvelles du volume, annotées avec gourmandise par le traducteur-éditeur,
démontrent qu’on avait tort d’ignorer ce Brás,
Bexiga et Barra Funda, informations de São Paulo, une pièce
remarquable de la littérature du siècle dernier. »