Où l’on évoque un peu
lestement Oswald de Andrade, Sérgio Milliet, Mário de Andrade, Paulo Prado et
les autres… : Étienne Bastiaenen, « Quand les écrivains brésiliens adulaient Blaise Cendrars » (Bibliobs du 18 mars).
Et tant que les Français
ne les lisent pas, rappelons que les trois premiers sont disponibles en
français ; et que le Portrait du
Brésil de Paulo Prado le sera bientôt, et Mário de Andrade derechef !
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