Dans
le numéro d’été de la revue Europe, consacré à Roberto Bolaño, il y a plein de bonnes
choses, il n’y a même que ça, je crois bien. Il y a, par exemple, l’indispensable
témoignage de Robert Amutio, qui fut (et ne sera plus) son traducteur français.
Il y a aussi un excellent article de Florence
Olivier, auteure par ailleurs d’un essai qui se conseille, Sous le roman, la poésie : le défi de
Roberto Bolaño (Hermann, 2016).
Et comme chacun voit un peu midi à sa
porte, on se rappelle que Florence Olivier avait également signé, dans Europe déjà (avril 2014), une
splendide note de lecture sur l’ouvrage Stridentisme ! (Le Temps des Cerises, 2013) du Mexicain Maples Arce,
l’un de ces rares poètes pistés par l’érudition sauvage de Bolaño, une étoile bizarre
de sa fascinante constellation littéraire.
Allez, on vous la redonne, cette
critique, parce que le livre se lit très bien à la plage, en supplément aux Détectives sauvages…
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