13 juillet 2018

Sous le roman, la poésie

Dans le numéro d’été de la revue Europe, consacré à Roberto Bolaño, il y a plein de bonnes choses, il n’y a même que ça, je crois bien. Il y a, par exemple, l’indispensable témoignage de Robert Amutio, qui fut (et ne sera plus) son traducteur français. Il y a aussi un excellent article de Florence Olivier, auteure par ailleurs d’un essai qui se conseille, Sous le roman, la poésie : le défi de Roberto Bolaño (Hermann, 2016).
Et comme chacun voit un peu midi à sa porte, on se rappelle que Florence Olivier avait également signé, dans Europe déjà (avril 2014), une splendide note de lecture sur l’ouvrage Stridentisme ! (Le Temps des Cerises, 2013) du Mexicain Maples Arce, l’un de ces rares poètes pistés par l’érudition sauvage de Bolaño, une étoile bizarre de sa fascinante constellation littéraire.
Allez, on vous la redonne, cette critique, parce que le livre se lit très bien à la plage, en supplément aux Détectives sauvages

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