# Rendez-vous
le samedi 14 juin à 15h
sur le stand du Temps
des Cerises
au 32e Marché de la
Poésie
(place Saint-Sulpice,
Paris 6e)
pour une
signature,
par son
traducteur même,
du livre :
Manuel Maples Arce
Stridentisme !
Poésie & Manifeste
(1921-1927)
Édition bilingue & illustrée
Éd. & trad. de l’espagnol (Mexique)
par Antoine Chareyre
Le Temps des Cerises (Paris), coll. « Commun’art »
16 x 16 cm, 372p., 25€
(paru le 14 novembre 2013)
# 4e de couverture :
Mexico, 1921 : un jeune poète placarde au coin des rues un confondant Comprimido estridentista, synthèse des multiples « ismes » d’Europe à l’usage du Mexique postrévolutionnaire. Avec ce manifeste, Maples Arce (1900-1981) fonde le Stridentisme, l’une des premières et des plus significatives avant-gardes d’Amérique latine. Une demi-décennie durant d’agitation culturelle, de nouveaux manifestes collectifs et de revues éphémères, il publie les recueils Andamios interiores, poemas radiográficos (1922), Urbe, super-poema bolchevique en 5 cantos (1924) et Poemas interdictos (1927). Au-delà des pièces d’anthologie, le présent volume entend donner à lire ces textes essentiels d’un auteur longtemps mésestimé, mais aussi, au gré d’un appareil critique, documentaire et iconographique fourni, à comprendre et à voir un mouvement encore méconnu en France. Ami de Diego Rivera et des muralistes, tôt salué par Borges, traduit par John Dos Passos, tiré des archives par Roberto Bolaño, le chef de file du Stridentisme méritait sans doute les soins de cette première édition d’ensemble en français.
Mexico, 1921 : un jeune poète placarde au coin des rues un confondant Comprimido estridentista, synthèse des multiples « ismes » d’Europe à l’usage du Mexique postrévolutionnaire. Avec ce manifeste, Maples Arce (1900-1981) fonde le Stridentisme, l’une des premières et des plus significatives avant-gardes d’Amérique latine. Une demi-décennie durant d’agitation culturelle, de nouveaux manifestes collectifs et de revues éphémères, il publie les recueils Andamios interiores, poemas radiográficos (1922), Urbe, super-poema bolchevique en 5 cantos (1924) et Poemas interdictos (1927). Au-delà des pièces d’anthologie, le présent volume entend donner à lire ces textes essentiels d’un auteur longtemps mésestimé, mais aussi, au gré d’un appareil critique, documentaire et iconographique fourni, à comprendre et à voir un mouvement encore méconnu en France. Ami de Diego Rivera et des muralistes, tôt salué par Borges, traduit par John Dos Passos, tiré des archives par Roberto Bolaño, le chef de file du Stridentisme méritait sans doute les soins de cette première édition d’ensemble en français.
# extraits de presse sur
l’ouvrage :
Ouvrage publié avec le soutien du Programme d’Aide à la Traduction (PROTRAD) dépendant d’institutions culturelles mexicaines, et du Centre National du Livre (CNL).
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