Du Brésil
en voulez-vous en voilà dans le dernier numéro des Cahiers Benjamin Péret (n°10, septembre 2021).
Manon
Julian signe un bel article qui, sous le titre « Pagu, une femme de fer
avec des zones érogènes et un appareil digestif », est aussi une tentative
de saisie des suggestifs parallélismes et entrecroisements biographiques entre Patrícia Galvão (Pagu) et Péret — et la continuation d’un compte rendu
attentif, signé par Manon Julian dans la même revue (n°9,
sept. 2020), de l’autobiographie de notre si chère Pagu, Matérialisme & zones érogènes (éd. Le Temps des Cerises, 2019),
un petit livre qui ne cesse de se trouver par ici quelques lecteurs fascinés.
Puis dans
le dossier « Traductions et traducteurs de Benjamin Péret », Leonor
Lourenço de Abreu propose un panorama intitulé « Voyages en lusophonie :
l’œuvre de Benjamin Péret au Brésil et au Portugal ».
Qu’on se
le dise, & qu’on lise.
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