Qui donc osait situer Pagu, azimutalement, quelque
part entre Zola, Félix Fénéon, Léon Frapié et Roberto Arlt ? C’était
Éric Dussert, dans une bien belle
note de lecture sur le roman Parc industriel (Le Temps des
Cerises, 2015) parue dans Le Matricule
des Anges (n°162, avril 2015).
Voilà
que l’article reparaît, dans une version revue et augmentée s’il vous plaît, au sein du nouveau
recueil de portraits d’Éric Dussert, Cachées par la forêt (138 femmes de
lettres oubliées), préf. de Cécile Guilbert, La Table Ronde, 2018 (« Patricia
Galvão », p. 419-421). On peut s’en réjouir.
Et
pour s’assurer que l’auteure ne retombera pas de sitôt dans l’oubli, Le Temps des Cerises nous prépare un
nouveau livre de Pagu en français, son « autobiographie précoce ». Il y est question d’engagement communiste et de condition féminine, l’un dans l’autre. Sous peu, un titre et une couverture. Rendez-vous dans deux mois en librairie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire