Plus que quelques
semaines pour visiter l’exposition « Modernités
plurielles » du Centre Pompidou
et y trouver :
des toiles
de
Tarsila do Amaral
(la fameuse et trop rare
Cuca !),
Vicente do Rego Monteiro,
Emiliano Di Cavalcanti,
et
Lasar Segall,
Oswald de Andrade,
Mário de Andrade,
Flávio de Carvalho,
et
Luís Aranha*,
la revue Klaxon
et
les catalogues d’exposition de Tarsila à Paris.
Tout cela, pêle-mêle,
dans les salles contiguës « Anthropophagie » et « Futurisme
international ».
Qu’on se le dise.
* Avec 3 vers tirés du « Poème Pythagore », qui ne se seraient jamais trouvés là, de fait, sans l’édition française de Cocktails (Poèmes choisis), suivi d’une étude par Mário de Andrade, choix, trad., préf. et notes par A. Chareyre, Toulon, La Nerthe, « Collection Classique », 2010, 116p., 20€. [présentation ici : http://boisbresilcie.blogspot.fr/2010/11/qui-connait-luis-aranha.html]
Exposition : « Modernités
plurielles, 1905-1970 » (commissaire général : Catherine
Grenier ; commissaires associés : Clément Chéroux, Cécile Debray,
Michel Gauthier, Aurélien Lemonier), Centre Pompidou (niveau 5), du 23
octobre 2013 au 26 janvier 2015.
Catalogue : C. Grenier (dir.), Modernités
plurielles, 1905-1970, 256p., 300 ill. (album, même titre, 60p., 100
ill.).
Première recension de
cette partie de l’exposition, ici-même :
http://boisbresilcie.blogspot.fr/2013/10/la-ou-il-faut-etre.html
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