
Au détour de ces
évocations, on lit, à propos d’Oswald : « Les premières traductions
de ses œuvres mettront plus de cinquante ans à voir le jour. Le recueil Bois Brésil, lui, n’arrive dans les
librairies françaises qu’en 2010, c’est-à-dire, quatre-vingt-cinq ans après sa
première publication à Paris. » À propos de Pagu : « Ses livres
commencent à être traduits en France très tardivement, à partir des années
2010. »
Rappelons
donc aux plus curieux que sont actuellement disponibles en librairie, traduits
et présentés par Antoine Chareyre : le recueil Bois Brésil d’Oswald de Andrade (éd. bilingue, préf. de Paulo Prado, ill. de Tarsila do Amaral, La Différence, 2010, 398p., 30€), le roman Parc industriel (préf. de Liliane Giraudon, Le Temps des Cerises, 2015, 166p., 14€) et l’autobiographie Matérialisme & zones érogènes (Le Temps des Cerises, 2019, 201p., 15€) de Patrícia Galvão (Pagu).
*
Autour
de l’ouvrage Les Brésiliens à Paris, Adriana
Brandão sera l’invitée d’une rencontre sur le thème « Brésiliennes et
espace de liberté à Paris », animée par Mazé Torquato Chotil, vendredi 28
février à 19h30, Institut culturel franco-brésilien Alter’Brasilis, MIJE, 6 rue
de Fourcy, Paris 4e. (Voir la présentation de l’événement sur le site des éditions Chandeigne.)
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