20 mars 2015

Là où il faut être / Lancement Pagu (25)

AVIS AU PEUPLE — La scandaleuse Pagu NE sera PAS de la délégation officielle de 48 auteurs brésiliens invités au Salon du Livre de Paris (20-23 mars 2015), qui a ce goût très sûr de n’accueillir que des écrivains vivants. Évitez les longues files devant les tables de dédicace, Fuyez les causeries bondées du stand Brésil, Soyez révolutionnaire et faites le choix de la dissidence, en vous rendant sur le stand G86 des éditions Le Temps des Cerises et en exigeant le livre :

(roman prolétaire)

Prologue de Liliane Giraudon

Traduction du portugais (Brésil),
notes & postface par Antoine Chareyre

Le Temps des Cerises (Montreuil)
Coll. « Romans des Libertés »
166 p., 14€

(paru le 19 mars)


*
Le roman prolétaire
mondialement salué par la critique brésilienne !

« Une ultime perle moderniste, un excentrique et audacieux précurseur
du roman social des années 1930. »
« Un style fragmentaire, direct et concis, influencé par
la prose télégraphique d’Oswald de Andrade. »
« La poignante poéticité de l’utopie prolétaire de Pagu. »
(Augusto de Campos)

« Patrícia Galvão, muse tragique de la Révolution. »
(Carlos Drummond de Andrade)


« Pagu, lunique et authentique expression du féminisme national. »
(Ary Pavão, Diário Carioca)

« Un douloureux document humain,
le premier roman prolétaire publié au Brésil. »
« La première femme emprisonnée au Brésil,
dans la lutte révolutionnaire idéologique. »
(Geraldo Ferraz, A Tribuna)

« Le choc des vies qui palpitent dans le sous-sol du parc industriel. »
« Les débuts d’écrivain les plus beaux et les plus courageux
de cette délicieuse fin 1932. »

« La violence et l’éclat d’un tempérament révolutionnaire. »
« Roman rapide, couleurs fortes, personnalité. »

« Curieuse et admirable Pagu, femme de culture et d’action. »
« Roman rapide, expressif, vibrant, clair. »

« Un libelle sous la forme du roman. »
« Des pages véhémentes et tristes. »
« Un pamphlet admirable d’observations et de probabilités. »
« Une série de tableaux pittoresques et merveilleux,
dessinés avec un grand réalisme. »
« L’éclatante beauté de tableaux vivants de dissolution et de mort. »

« São Paulo vient de se réaffirmer à l’avant-garde littéraire qu’elle occupe. »
« Le sens dramatique et social des situations de classe. »

« Pagu a vu et a parlé, a crié, a hurlé. »
« La tragédie ouvrière, sans fioritures ni poésie bourgeoise. »

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