Nous parlons d’Oswald de Andrade et
Blaise Cendrars, bien sûr, dont la relation se noua en 1923 à Paris, source du
courant « Bois Brésil » et de quelques-unes des plus belles heures du
mouvement moderniste brésilien.Ceux que cette histoire turlupine pourront lire, dans le récent n°9 de la revue Constellation Cendrars, notre compte rendu d’un ouvrage qui manquait : l’édition par Gênese Andrade de la Correspondência entre Oswald et Mário de Andrade, brève mais plutôt essentielle désormais, en particulier pour comprendre ce que pouvaient bien fiche Oswald et maints autres avant-gardistes brésiliens dans la capitale française durant l’année qui suivit 1922.
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