12 mai 2016

Là où il faut être - rappel

La petite exposition-dossier « Oswald de Andrade, passeur anthropophage », inaugurée en janvier au cœur des collections modernes du Centre Pompidou (Musée national d’art moderne, niveau 5, traverse 4) et organisée par Leonardo Tonus, Mathilde Bartier et Julie Champion, se poursuit jusqu’au 31 août.

Encore quelques mois, donc, pour voir des toiles rares de Tarsila do Amaral (A Cuca, de 1924, avant qu’elle ne regagne la réserve du Musée de Grenoble…), Vicente do Rego Monteiro, Di Cavalcanti et Flávio de Carvalho, des documents emblématiques (la revue Klaxon de 1922, le Manifesto antropófago de 1928, des catalogues d’exposition de Tarsila à Paris), des archives relatives au modernisme brésilien et ses relations avec l’avant-garde parisienne (coupures de presse, photographies, correspondances…), et des éditions originales comme celle du recueil Pau Brasil, parfois dédicacées par Oswald de Andrade.


Et pendant ce temps, on peut toujours lire Bois Brésil (Poésie et manifeste) d’Oswald de Andrade, avec les illustrations de Tarsila, volume paru aux Éditions de la Différence en 2010 — et dont des extraits ont été lus par Leonardo Tonus lors de la soirée « Museum Live » du 14 janvier.

Qu’on se le dise !




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