7 janvier 2016

Là où il faut être

Ana Paula Cavalcanti Simioni, professeure à l’Institut d’Études Brésiliennes de l’université de São Paulo (IEB-USP) et actuellement invitée du Département d’Histoire et théorie des arts de l’ENS, donne ce mois de janvier un cycle de 4 conférences intitulé « Du Brésil à la France, de la France au Brésil : un siècle de relations artistiques. Une approche politique, sociale et esthétique (1816-1922) ».

Ce cycle se conclura, comme il se doit, par une séance consacrée au cas du modernisme : « La dimension internationale des avant-gardes nationales : artistes brésiliens à Paris dans les années 1920, les enjeux pour la consécration d’une “modernité périphérique” ».

Où l’on entendra parler, assurément, de Tarsila do Amaral, d’Oswald de Andrade — à qui il est parallèlement rendu hommage au Centre Pompidou, dans le nouveau cycle d’expositions-dossiers du Musée national d’art moderne —  et consorts.

Séance : 
mardi 26 janvier, 10h30-12h30
ENS, Dép. d’Histoire & Théorie des Arts
Salle des Actes, 45 rue d’Ulm

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