13 octobre 2014

Là où il faut être (rappel)

Plus que quelques semaines pour visiter l’exposition « Modernités plurielles » du Centre Pompidou et y trouver :

des toiles
de
Tarsila do Amaral
(la fameuse et trop rare Cuca !),
Vicente do Rego Monteiro,
Emiliano Di Cavalcanti,
et
Lasar Segall,

Tarsila, A Cuca (1924)


des textes et citations
de
Oswald de Andrade,
Mário de Andrade,
Flávio de Carvalho,
et
Luís Aranha*,


la revue Klaxon
et
les catalogues dexposition de Tarsila à Paris.

Tout cela, pêle-mêle, dans les salles contiguës « Anthropophagie » et « Futurisme international ».

Qu’on se le dise.


* Avec 3 vers tirés du « Poème Pythagore », qui ne se seraient jamais trouvés là, de fait, sans l’édition française de Cocktails (Poèmes choisis), suivi d’une étude par Mário de Andrade, choix, trad., préf. et notes par A. Chareyre, Toulon, La Nerthe, « Collection Classique », 2010, 116p., 20€. [présentation ici : http://boisbresilcie.blogspot.fr/2010/11/qui-connait-luis-aranha.html]

Exposition : « Modernités plurielles, 1905-1970 » (commissaire général : Catherine Grenier ; commissaires associés : Clément Chéroux, Cécile Debray, Michel Gauthier, Aurélien Lemonier), Centre Pompidou (niveau 5), du 23 octobre 2013 au 26 janvier 2015.
Catalogue : C. Grenier (dir.), Modernités plurielles, 1905-1970, 256p., 300 ill. (album, même titre, 60p., 100 ill.).

Première recension de cette partie de l’exposition, ici-même :
http://boisbresilcie.blogspot.fr/2013/10/la-ou-il-faut-etre.html

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